- CAP MARINE Fondée en 1989 à Sainte Pazanne dans le 44 (Loire Atlantique).
- CAPTAIN CORSAIRE
Captain Corsaire habille petits et grands, dans un style marin issu d’une longue tradition textile bretonne originaire de Saint-Malo, la célèbre cité corsaire.Fondé par la famille Ruaudel, leur atelier confectionnait initialement des vêtements pour équiper les marins Bretons. La marque « Tricots Corsaire » voit le jour en 1936 avec le développement des loisirs de bord de mer pour devenir « Captain Corsaire » dans les années 60.Ces collections sans cesse renouvelées,aux rayures et aux couleurs d’inspirations nautiques,sont d’invitations à adopter un style marin authentique et à prendre le large.Marinières,pulls marins,cirés et parkas…le style CAPTAIN est adopté par toute la famille.Les petits corsaires seront habillés du 3 à 36 mois.
Captain Corsaire Zone industrielle 50240 Saint-James
Il n’y a pas d’âge pour être marin, il n’y a pas d’âge pour porter Captain Corsaire !
- HUBLOT
Originaire du sud-ouest et amoureuse du look marin, Hublot Mode Marine est une marque qui aime la pluie, le soleil et les rayures !
Depuis 20 ans, elle remet la mode marine au goût du jour en mêlant tendances urbaines et univers marin pour créer une mode affranchie qui fait des vagues. Découvrez un vestiaire complet, intemporel, frais et coloré dans lequel toute la famille trouve son bonheur, du plus petit des moussaillons au plus grand des capitaines !
- MICHEL BEAUDOUIN Michel Beaudouin est une marque de vêtements marins créée dans les années 50 par son fondateur du même nom. Celui-ci passionné tout jeune (4 ans) par la voile et la mer, ou il passait toutes ses vacances, il devait naturellement en découler un métier en rapport avec la mer. Il créera une fabrique de vêtements marins à Hennebont (56) en Bretagne. Des cabans et duffle coats de grande qualité, pour homme et femme, en sortirons avec la signature “Michel Beaudouin, le couturier de la mer”. La marque a été rachetée aujourd’hui par Cap Marine.
- SAINT JAMES
En 1850, le chandail marin, qui allait faire le succès et la renommée de la marque Saint James, n’existait pas encore. Léon Legallais, maire de la commune de Saint-James prés du Mont Saint Michel, ville éponyme de la future marque, fonde une filature appelée « Moulin du Prieur ».
L’entreprise familiale tisse et teint la laine locale. Elle est produite par les moutons dits de « prés salés » élevés sur les rives du Couesnon, dans la baie du célèbre Mont Saint-Michel, situé à quelques encablures de Saint-James. Cette laine de qualité est revendue aux merceries et aux magasins de bonneterie de la région, qui commercialisent alors des bonnets, des chaussettes et divers articles d’habillement en maille.
Sans le savoir, Léon Legallais construit les fondations d’une marque qui traversera les décennies, devenant un emblème de la mode française et l’héritière d’un savoir-faire ancestral.
Quelques années plus tard, en 1889, l’atelier du Moulin du Prieur devient officiellement la société anonyme des Filatures de Saint-James.
Léon Legallais continue à y fabriquer des pelotes et des écheveaux revendus aux merceries de Normandie et de Bretagne. Il décide également d’innover, et se lance dans la commercialisation du tout premier vêtement Saint James : le chandail marin.
Tricoté en maille serrée avec la laine des moutons de prés-salés, résistant et chaud, il doit son nom à l’activité des pêcheurs bretons et normands. Ces derniers avaient en effet l’habitude, entre deux saisons de pêche en Atlantique Nord, de traverser la Manche pour partir vendre de l’ail sur la côte sud de l’Angleterre.
À l’époque, le chandail marin fait partie du paquetage du matelot : il habille les Terre-Neuvas, ces marins qui partaient pêcher la morue dans l’Atlantique Nord, au large du Canada, sur les bancs de l’île de Terre-Neuve.Ils annonçaient leur présence en criant : « Marchand d’ail ! Marchand d’ail ! », et les Britanniques entendaient « chand’ail, chand’ail ! ».
C’est ainsi qu’est né le nom du vêtement emblématique de Saint James qui, au siècle suivant, séduira les Français et les plus grands créateurs de mode.Ces pêcheurs affrontaient pendant 6 ou 7 mois des conditions extrêmes, bravant la météo peu clémente, la mer agitée et la dureté du travail. Le chandail devait les protéger le mieux possible du froid, sans entraver leurs mouvements pour ne pas compliquer les manœuvres sur les bateaux.
- IRELANSEYE
IrelandsEye Knitwear est une entreprise familiale Dublinoise qui a su s’imposer comme une marque internationale dans le domaine du tricot.Fort du
savoir-faire de ses talentueux designers, inspirés directement des couleurs et de la puissance des vents côtiers de l’île d’Irelands Eye, la maison O’Sullivan fait
du tricot un hymne.
Le style classique du pull Irlandais composé de laine chaude ou de cachemire est revisité avec goût pour lui apporter une touche contemporaine et s’adapter
aux milieux naturels mais aussi urbains, équation parfaite entre style et praticité.
- MACKIE
Fondé en 1845, Robert Mackie of Scotland est un fabricant écossais d’accessoires haut de gamme situé à Stewarton dans le comté de Ayrshire en Écosse.
L’histoire de la fabrication de bonnets (Bonnet au sens du bonnet “Balmoral” écossais) à Stewarton remonte à la fin du 16ème siècle. Tricotés entièrement à la main, vous pouvez retrouver des exemples de ces premiers bonnets au Musée de Stewarton.
La révolution industrielle bouleversera la donne et bientôt tous les bonnets seront fabriqués à l’aide de machines. Robert Mackie & sons fait partie de l’un de ses fabricants d’origine. C’est également aujourd’hui le seul fabricant écossais dans le monde des deux bonnets traditionnels écossais, le Glengarry et le Balmoral, soit les premiers couvre-chefs des régiments de l’armée écossaise.
Aujourd’hui encore la marque fournit la plupart des joueurs de cornemuses écossais.Hormis le fil, Robert Mackie réalise toutes les étapes de production dans son usine de Stewarton. Au cours de ses 175 ans d’existence, Robert Mackie a acquis une solide expérience dans le tricotage. Elle travaille uniquement des fibres naturelles, très souvent de la laine de type Donegal, Geelong, Mérinos ou Shetland.
- MOUSQUETON
Tout commence en 2003, quand Frédérique et Pascal entreprennent d’insuffler un esprit joyeux et inventif sur des vêtements marins : un fort caractère, des matières naturelles, des toiles solides et des rayures marinières.
Le tableau d’un petit matelot sur fond de ciel, vivement brossé par une amie artiste, devient l’image de cette nouvelle marque, crée et dessinée en Bretagne.
Car l’aventure commence en Morbihan, son Golfe et ses rivières, sa force stimulante. Plus qu’une mode, c’est un mode de vie en bord de mer, avec ses couleurs lumineuses, ses tissus patinés, ses coupes confortables, sa simplicité positive. Mousqueton, des vêtements à vivre !
Sous une bonne étoile, notre duo rayonne et s’entoure d’une belle équipe, aussi passionnée que décontractée, des femmes et des hommes partagent ses valeurs généreuses, sincères et accessibles.
Depuis le siège installé au large près de Vannes, on voit les boutiques essaimer de l’Océan au cœur des villes, la marque se développer à l’international et l’entreprise compter dans l’économie locale avec des partenariats sportifs et culturels.
C’est aujourd’hui une entreprise bretonne responsable qui s’inscrit encore plus volontairement dans une démarche progressive de transition, consciente de sa mission à l’écoute de ses clients. En valorisant l’humain au cœur du processus de production, en sélectionnant les meilleurs savoir-faire, en tissant des liens fidèles avec ses fournisseurs et en réduisant son impact environnemental, Mousqueton s’inspire des « gens de mer » pour hisser les couleurs de la solidarité, l’authenticité et la convivialité.
« On peut compter sur Mousqueton ! »